• twitter
  • facebook
  • youtube

Connexion

Tsumenokage, le Porte Drones

Chapitre 1 - Une passion robotique

le 27 avril 2016

Tsumenokage vécut la totalité de son enfance dans la ville de Bandle City. Issu d'une famille modeste, rien ne prédestinait ce yordle à devenir un combattant. Ces parents étaient tous les deux de grands scientifiques et des experts en robotique. Au village, tout le monde les connaissait, et ils connaissaient tout le monde. Tsumenokage avait longtemps entendu parler d'Opale et de Stodoc Marchecor, un couple très proche de ces parents. Ces amis-là travaillaient au Sein de l'Institut de la Guerre, une révélation qui, le jour où il l'apprit, fit rêver le petit yordle.
Peragon et Lys Relveth travaillaient en liaison avec Piltover, où ils donnaient quelques cours à l'Académie Yordle de la Science et du Progrès en tant qu'intervenants temporaires. Ils occupaient également un énorme entrepôt en péripétie de Bandle, où Tsumenokage aimait s'incruster, malgré les refus catégoriques de sa mère :
-Il pourrait se blesser ou n'importe quoi d'autre ! C'est trop dangereux pour un enfant de venir jouer ici !
La semaine suivante, les Revelth congédièrent leur nourrice qui ne pouvait retenir le petit Tsumenokage à rejoindre ses parents. Quand il fut capable de se lever sur ses deux pattes, il commençait déjà à vadrouiller parmi les différentes inventions que créaient ses parents. Nombre de fois son père le retrouva dans une machine, sous un robot où près d'une prise électrique à haute tension. Souvent grondé pour ces petites bêtises heureusement sans grandes conséquences, Tsumenokage fut calfeutré dans un parc pour enfant monté à la va-vite par sa mère. De temps à autres, elle lui donnait des petits robots rigolos qui marchaient et répétaient quelques mots, ce qui amusaient beaucoup le petit yordle. Mais quand il ne jouait ou ne s'imaginait pas des aventures enfantines, Tsumenokage s'ennuyait. Dès qu'il le put, il le fit rapidement comprendre à sa mère qui déplaça son parc dans leur salle principale où ils passaient le plus clair de leur temps. Cela suffit à l'enfant qui se contentait de les regarder travailler, attendant finalement le jour où il pourrait lui aussi bidouiller ces monstres de fer et ses tas de ferrailles.

Partagez sur : Facebook Twitter